La visite de Mexico commence par l’incontournable Zocalo, la place centrale de la ville, la plus grande place carrée au monde.
Bordée par la cathédrale, le Palacio Nacional où siège le gouvernement et l’hôtel de ville, elle arbore fièrement les couleurs du pays, quelques jours seulement après la fête de l’indépendance.
A l’intérieur du Palacio Nacional, nous découvrons les superbes fresques de Diego Rivera dont nous avons tant entendues parler. Elles retracent toute l’histoire du Mexique, depuis les civilisations indiennes jusqu’à nos jours. La conquête espagnole y est cruellement dépeinte.
Nous ne résistons pas non plus à l’appel de la brocante. Sophie nous emmène avec Eliot flâner dans des allées étroites où se répandent de vieux objets et de vieux meubles qu’on ramènerait bien en France.
Après réflexion et négociation avec le vendeur, Antoine fait une affaire. Il acquiert un appareil photo Graphex d’un autre âge qui vient compléter sa collection. Sophie et Mathieu nous le ramèneront la prochaine fois qu’ils viendront en France. Il n’est pas très pratique pour un tour du monde !
On pique un fou rire devant les mannequins d’une boutique de costumes pour hommes. Ils sont bronzés bien sûr et ont tous des moustaches et des coupes de cheveux 70’s. Disons qu’ils répondent à un canon de beauté très éloigné de celui trop lisse de nos pays occidentaux.
Lorsqu’on rentre à la maison, on trouve “les débilos” devant la TV (dixit Mathieu) avec leurs lunettes 3D, Pablo et son copain Noah. On a pas pris de photo mais nous aussi on les a testées. Vive la TV 3D.
Il est temps de se préparer à la Lucha Libre, le catch à la mexicaine.
Direction les arènes de Mexico pour un grand moment de spectacle.
Il y a une ambiance incroyable pour un dimanche soir, et même si la salle n’est pas pleine, les cris ne manquent pas pour encourager ou huer les luchadors. Les photos ne sont pas autorisées.
Aussi on ne vous présentera que des photos d’Eliot, qui assiste pour la première fois au show héberlué et celle d’un autre luchador amateur que vous reconnaîtrez.
On t'a reconnu Fantomas dans le rôle du luchador amateur !!!
Damned!
Je suis jalouse de l'appareil photo…et j'ai hâte d'en voir les résultats à votre retour.
Hé, malin le masque de catcheur…comme ça on ne voit pas la fameuse "coupe mexicaine". Bon, on va patienter. A moins que vous n'attendiez la repousse?
Va falloir que je sorte le manuel pour le faire fonctionner cet appareil. La coupe mexicaine ? ah oui 🙂 Réponse dans un article à paraître.
Ouais, on veut voir la mexican hair cut! 🙂
Patience, patience !!!
La photo des débilos me fascine. Une des meilleures jusqu'ici à mon goût.
Et les mannequins locaux sont très chouette en effet!
Nous aussi on est fans des débilos, ça fait plaisir de partager ce point de vue à 10 190 km de Paris (depuis l'île de Taquile sur le Lac Titicaca) !
et oui, le catch mexicain, quel souvenir, j'étais au 3eme rang et j'ai bien failli m'en prendre 1 sur le coin du nez ;-), une vraie religion là-bas !!!
méjico, el d-f, districto fédéral, une ville de dingue !
autre lieu impressionnant j'étais allé voir un match entre 2 des équipes de foot de la capitale au stade aztèque, 115 000 places (80 000 au sdf je crois), et cerveza corona servies ds les rangs ;-)))
il est où ton blog ? ça nous intéresse ! des photos ?